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Table pleine ce matin avec les 19 élus présents pour ce Conseil Municipal de février. Environ une heure de débats pour venir à bout de l'ordre du jour comportant 10 points. Un problème technique a coupé la diffusion des premières minutes de la réunion. La rediffusion à partir des débats liés au point numéro 1 est à retrouver ici : https://www.youtube.com/watch?v=ebGuiVn9JzQ. C'est le point numéro 3 qui aura fait le plus discuté, concernant l'autorisation des travaux pour la gare de départ de la future télécabine du Vallon. Nombreuses questions diverses également en fin de séance, y compris de la part du public, nous y reviendrons.
Avant le début de l'ordre du jour, au moment de voter le compte rendu officiel de la dernière réunion, Dominique Maire fait remarquer qu'une question d'Ingrid Tholmer ne compte pas de réponse. Elle regrette aussi les nombreuses fautes d'orthographe. Ingrid Tholmer, secrétaire pour la séance de janvier propose que Dominique Maire soit dorénavant secrétaire a chaque conseil, mettant fin à l'alternance entre les deux élus qui s’était mis en place depuis plusieurs mois. Ingrid Tholmer précise, répondant à une demande de Patrick Martin, que l'écriture et la relecture d'un compte rendu de Conseil Municipal prennent du temps, en particulier pour la séance de janvier « qui avait été riche en débats ».
Au moment d'évoquer les décisions prises par le maire, Frédéric Monneret revient sur les nombreuses navettes d'établissements privés déposant et récupérant les skieurs aux pieds des pistes. Pour l'élu, il est désagréable de voir ces navettes le matin au niveau du Bananas bloquer la circulation. « Heureusement qu'il y a des pierres sinon ils iraient se garer au pied du Solaise Express » affirme l'élu. Il demande à ce que la police municipale mette des moyens en œuvre pour contrôler le trafic et incite les navettes à déposer les skieurs au rond point des pistes. Anne Copin fait remarquer que le dépose-minute pour les avalins sur le rond point des pistes le matin est aussi difficile. Même constat à la Daille le soir, où les navettes privées sont également très nombreuses et devraient récupérer les skieurs sur l'aire de retournement plutôt que sur le pont de la Rosée Blanche. Patrick martin répond qu'il a demandé à la police municipale d'être vigilante sur la circulation aux abords du Bananas le matin. Il remarque également que 104 navettes privées avaient été dénombrées il y a quelques années, et qu'elles doivent être aux alentours de 120 aujourd'hui. Des véhicules « qui roulent trop vite, qui laissent les moteurs allumés et gênent l'immense majorité de nos clients »
C'est Pierre Cerboneschi qui ouvre l'ordre du jour avec trois points d'urbanismes. Des demandes d'autorisation de travaux en altitude concernant tout d'abord la Folie Douce. La SAS les Tommeuses souhaite créer un nouvel espace de restauration en lieu et place de l'ancienne gare d'arrivée de la télécabine de la Daille, sur une surface de 680m². Pierre Cerboneschi précise que cette demande d'autorisation de travaux fait suite à la révision allégée du PLU, approuvée en novembre après 14 mois de travail. Ce premier point de l'ordre du jour est voté à l'unanimité.
Même chose concernant la construction du restaurant des Ruines de Tovières sur Bellevarde pour une surface de 668m². Philippe Arnaud demande comment les skieurs accéderont au restaurant en hiver, sachant qu'il n'y a plus de piste de ski alpin sur ce secteur. Pierre Cernobeschi répond que les clients accéderont par le pont de la piste Trifollet, servant aujourd'hui sur la piste de ski de randonnée Brinzei. « Par contre, pour retourner, on sera obligé de monter quelques dizaines de mètres, c'est pas une affaire d'État non plus », termine l'adjoint à l'urbanisme. Le point est voté à l'unanimité.
Troisième et dernier point d'urbanisme, toujours en lien avec des travaux en altitude, concernant la gare de départ de la future télécabine du vallon de l'Iseran, remplaçant l’appareil actuel, construit en 1982. Pierre Roux-Mollard quitte la salle et ne prend pas part au vote. Il s'agit pour l'instant de la première phase des travaux, ne concernant que la partie basse, à l'arrivée du téléphérique. Val d'Isère Téléphériques projette de remplacer la remontée mécanique actuelle menant au Pisaillas en installant un appareil type TC10 et de construire un parking souterrain pour les cabines de 1400m² capable d'accueillir 90 bennes, ainsi qu'un garage à dameuse, et les locaux du personnel des remontées mécaniques. Une construction qui se ferait sous la terrasse du restaurant le Signal. L'ancienne gare sera complètement démolie, pour laisser place à une zone d'embarquement ressemblant à celle que l'on trouve sur Solaise ou à la Daille. Dominique Maire demande ce qu'il en est de la gare d'arrivée, non concerné par la délibération du jour. Cette gare d'arrivée se situe à cheval sur notre commune et celle de Bonneval, complexifiant l'instruction et l'obtention d'autorisations. Gérard Mattis demande ce qu'il reste dans l'enveloppe de 54 millions d'euros votée en 2014 dans le cadre de l'avenant N°9. Patrick Martin lui répond : « La STVI fait rentrer des choses dans cette enveloppe et l'on estime qu'elles ne devraient pas y être. Il reste 6,7 millions d'euros, sur lesquels on va devoir déduire ce qui a été dépensé sur 2022. Au final on sera autour de 4 millions, c'est une somme qui est notoirement insuffisante pour tenir la rénovation de la partie haute du Vallon de l'Iseran. Nous n'avions pas manqué en 2014 de souligner le fait que le budget imparti était vraiment insuffisant. Ça ne fait pas plaisir d'avoir raison après, mais là il manque, pour finir, au bas mot, 13 à 14 millions d'euros puisque le projet total approche les 19 millions d'euros. Nous avons entamé des discussions avec le délégataire pour avoir un rehaussement significatif de cette enveloppe et également une participation plus importante au niveau des frais de fonctionnement. »
La construction de cette nouvelle remontée devrait inclure le démontage des téléskis du Col, le débit du nouvel appareil étant suffisant pour faire accéder les skieurs au Pisaillas. Les travaux de la gare de départ pourraient commencer dès cet été, tout en conservant pour l'instant la gare actuelle. La ligne et la partie haute pourraient être construites en 2024. Anne Copin profite de ce sujet pour signaler que les enfants de l'école primaire ont écrit un courrier à Olivier Simonin, demandant s'ils pouvaient récupérer une cabine pour l'installer dans la cour de l'école. « À ce jour ils n'ont toujours pas eu de réponse », regrette l'élue. Pierre Cerboneschi évoque aussi le futur remplacement du téléphérique du Fornet « assurant une chaîne continue du bas au sommet de l'Iseran. Ce n'est pas dans la délibération, mais cette remontée servira, dans le futur, à fonctionner l'été au lieu d'avoir cette chaîne continue de voitures pour rejoindre le sommet de l'Iseran pendant les périodes d'ouvertures du glacier. » Gérard Mattis estime qu'il s'agit d'une priorité et qu'il faut accélérer. Répondant à une question de Mathieu Scarafiotti, Patrick Martin annonce que le contrat avec le délégataire ne pourra plus être prolongé. Celui-ci se termine en 2032 après prolongation en 2014, « c'était déjà borderline. Là on aura un contrat qui aura duré 50 ans. On a que deux solutions, soit on va au bout de ce contrat sous sa forme actuelle, ça ne me satisfait pas, il n'y a pas assez pour investir, il n'y a pas assez pour fonctionner. Soit on discute sur la manière d'améliorer le contrat au profit de la commune dans les 10 années qu'il nous reste. Soit, si on n'arrive pas a s'entendre, on a toujours la possibilité, comme depuis le début du contrat, un an à l'avance, et de relancer un nouveau contrat qui ne pourra pas excéder 18 ans. » Ce point est voté à l'unanimité.
Véronique Pesenti Gros prend ensuite la parole pour présenter les deux points suivants, à commencer par le budget accordé aux « Fêtes et cérémonies ». Un budget de 15 800€ cette année est proposé pour organiser les vœux du maire, la cérémonie du 11 novembre, le repas du personnel communal, la remise des prix Maison Fleuries et pour les gerbes de fleurs. Ingrid Tholmer se demande s'il ne faudrait pas ajouter un budget pour célébrer « les départs en retraite des agents communaux. Il y a récemment eu une personne qui avait passé 30 ans comme employé communal qui a eu un hommage un peu léger, je pense. J'estime qu'il faudrait prévoir de marquer le coup de manière un peu plus conséquente. » Les départs en retraite sont fêtés traditionnellement pendant le repas des agents communaux répond Véronique Pesenti Gros : « on invite les personnes qui sont parties en cours d'année dans une cérémonie collective, c'est pas une fête par agent au fur et à mesure des départs ». Ingrid Tholmer trouve cela « dommage. On sait remettre des médailles à nos clients fidèles en faisant de petites cérémonies tout à fait justifiées. Là 30 ans au service de la collectivité ça mérite la présence des élus et une petite fête digne de ce nom. » Ce point est voté à l'unanimité.
Nouvelle modification du tableau des effectifs, pour la création d'un poste des services ressources. La municipalité souhaite renforcer l'administration avec ce poste de catégorie A. Pas de discussion, trois membres de l'opposition votent contre, un s'abstient, les élus de la majorité votent pour.
Fabien Hacquard présente ensuite les subventions aux associations pour cette année, à commencer par Vie Val d'Is. L'élu à la vie de Village rappelle les nombreuses actions portées par l'association et propose d'accorder une subvention de 77 106€. Cette subvention est votée à l'unanimité, sans questions.
Autre association mise en avant par ces octrois de subvention, l'association de Parents d'élèves Farandole Avaline. Une subvention de 13 000€ est accordée par la commune. Ingrid Tholmer demande pourquoi délibérer spécifiquement sur cette subvention plutôt que de l'inclure dans le point suivant concernant toutes les autres subventions. Fabien Hacquard lui répond qu'il s'agit d'une volonté de mettre en lumière cette asso, tout en précisant que cette subvention conséquente est constituée, pour 7 500€ de frais de location du centre des Congrès. Ingid Tholmer demande pourquoi les demandes de subventions aux associations n'ont pas été étudiées en commission Vie de Village. Fabien Hacquard explique « qu'on n’a pas convoqué une commission vie de village, mais tous les membres de cette commission ont été invités à la réunion le jour où on a pris la décision. Comme l'année dernière, nous n'étions que trois, Dominique Maire, Patrick Martin et moi ». Ingrid Tholmer avoue ne pas se souvenir l'avoir reçu. « Peut être qu'elle est passée à la trappe ». « C'est dommage, c'est une grosse partie de notre vie de village toutes ces associations et je trouve que les débats ne sont pas assez intenses. J'ai demandé pour l'année prochaine à ce que toutes les associations soient invitées pour nous présenter leurs projets », termine Fabien Hacquard.
Le point suivant est consacré a l'octroi des subventions a toutes les autres associations avalines, en voici la liste :
Amicale des sapeurs pompiers : 2 000 €
Coopérative école maternelle : 1 500 €
Association sportive école primaire : 1 500 €
ACCA : 4 200 €
Amicale du personnel : 21 300 €
Couleurs et toiles : 7 000 €
Handisport Val d'Isère : 2 000 €
La Sauce : 1 500 €
Téléthon Savoie : 1 000 €
Amicale des pisteurs secouristes : 4 000 €
Dans les yeux de Gabin : 1 000 €
Handisport Savoie : 500 €
Ligue contre le cancer : 1 500 €
PEP : 73 160 €
Les restaurants du cœur : 500 €
AFSEP Sclérose en plaque : 100 €
Loco motive : 500 €
Amicale des donneurs du sang : 200 €
EHPAD de Bourg st Maurice : 400 €
Le tetras libre : 500 €
Au total 51 360 € sont accordés aux associations locales. Gérard Mattis demande pourquoi la société de pêche n'y figure pas. « Si elle n'y est pas, c'est que la pêche n'a pas fait de demande. Avant chaque association faisait sa demande en fonction de son calendrier. Ça fait trois ans, depuis qu'on est aux affaires, que je me bats pour qu'avant le vote du budget on ait la totalité des demandes de subventions. Typiquement la pêche on est toujours obligé de leur courrier après. Pourtant je fais partie de l'association, mais on a toujours les demandes au mois de juillet, avec 7 mois de retard. » Pierre Roux Mollard demande l'évolution des subventions versées. Le montant est stable répond Fabien Hacquard, hormis une augmentation pour Couleurs et Toiles. Ce point est voté à l'unanimité.
Dominique Maire présente les deux derniers points de l'ordre du jour, à commencer par la modification des horaires de la médiathèque. L'objectif était de simplifier les horaires pour qu'ils restent mémorisables. En hiver et en été, la médiathèque sera donc ouverte du dimanche au vendredi de 14h à 18h et le mercredi de 10h a midi. Véronique Pesenti Gros regrette que la médiathèque reste fermée le samedi « alors que les enfants sont de retour le week end, que certains samedis il ne fait pas beau et qu'on ne sait pas comment les occuper. Il me semble qu'on en avait déjà parlé, le fait que ça n'ait pas été pris en compte me navre ». « je rejoins Véronique, ça fait trois ans que je demande que la médiathèque soit ouverte le samedi et on me dit que ce n'est pas cohérent avec les touristes », ajoute Anne Copin. Elle propose que la médiathèque soit fermée un autre jour que le samedi. Dominique Maire ajoute que des remarques similaires lui ont été adressées concernant le cinéma. Présente dans la salle, Manali Chaibeddra, la directrice des affaires culturelles précise que la médiathèque est ouverte le samedi durant les intersaisons. Le point est soumis au vote, une majorité des élus s'abstiennent, trois votent pour.
Dominique Maire poursuit avec le dernier point de l'ordre du jour, la signature d'une convention d'objectifs avec le Conseil Savoie Mont Blanc relative au Plan de développement de la lecture publique. Cette signature permet à la médiathèque l'accès aux ressources de Savoie Mont Blanc, le tout sans impact financier. Le point est voté à l'unanimité.
Gérard Mattis ouvre le bal des questions diverses en évoquant les travaux de réaménagement de l'Office de Tourisme. Frédéric Monneret explique que dès la fin de la saison d'hiver, des travaux importants vont débuter sur l'immeuble du Prariond qui abrite notamment les locaux de l'Office de Tourisme afin de le surélever d'un étage. Les trois occupants de la structure, propriété de la commune, l'Office de Tourisme, la centrale de réservation et Radio Val d'Isère vont devoir déménager durant ces travaux. Il s'agit d'une occasion unique de réaménager les locaux de l'office de Tourisme, de les rendre plus accessibles et plus modernes. Gérard Mattis le coût de cette opération. Frédéric Monneret répond qu'il est encore trop tôt pour avoir une idée du budget total de ces travaux, mais que chaque entité occupant ces locaux devra investir.
Autre sujet évoqué par le doyen de la table, la fréquentation trop importante des pistes de ski. Gérard Mattis estime que les pistes sont moins larges cette année et que le nombre de skieurs augmente le risque de collisions. Patrick Martin annonce qu'il transmettra aux responsables de la régie des pistes, mais rappelle la qualité de neige que l'on trouve sur nos pistes en ce moment. Cyril Bonnevie affirme que les skieurs skient de plus en plus vite avec de moins en moins de technique. Il prend l'exemple de la station de Flaine en Haute Savoie qui a pris la décision de ne plus damer les pistes quotidiennement afin de laisser les bosses et ainsi ralentir les skieurs. D'après l'élu, l'efficacité est garantie même s'il comprend que de nombreux skieurs seront déçus si cette solution était retenue chez nous. Cyril Bonnevie garde la parole pour annonce que d'après lui, l'enjeu de la seconde partie de ce mandat est la renégociation du contrat de délégation de service public avec la STVI. Il estime qu'il faut aussi négocier avec Tignes, nos deux domaines étant reliés.
Il propose la création d'un groupe de travail sur le sujet « pour qu'on se batte au maximum pour notre village, pour notre domaine skiable en général » Patrick martin rappel que le contrat avalin se termine en 2032, celui de Tignes en 2026 et celui de Bonneval en 2024. « Une solution sur un domaine relié ne passera que par un groupement d'autorités concédantes. On aura chacun notre contrat, mais cela doit être fait que de manière collective, en fonction de la date la plus éloignée. » Concernant la fréquentation des pistes, Patrick Martin annonce une augmentation des secours sur piste, « une saturation sur Bellevarde, notamment du fait de l'arrivée de beaucoup de gens de Tignes, notre domaine étant, en termes de remontées mécaniques, y compris pour les petits skieurs, beaucoup plus performant que celui de nos amis tignards. » Il revient sur une éventuelle sortie du contrat de délégation actuel et évoque les indemnisations induites : « En 2021 c'était 63 millions d'euros, on a une prospective sur la valeur des remontées mécaniques. Si on ne fait rien d'ici 2032, on sera sur un chiffre plus dérisoire, de l'ordre de 17 millions d'euros. » Pierre Cerboneschi ajoute qu'il faut aussi prendre en compte les pertes d'exploitations dans ce calcul. « Quand on cumule le tout, on est à 120 ou 130 millions d'euros. Ce n’est pas neutre ». Mathieu Scarafiotti clôt cette discussion avec une image « on a dit pendant des années qu'il fallait faire bouillir la marmite. Le problème c'est que si on met trop de liquide dans la marmite, mais qu'on n’augmente pas sa taille, ça déborde. Nos pistes ne sont pas extensibles, nos stations de développent, mais on ne peut pas agrandir nos domaines skiables. Ça bouchonne, c'est logique. »
Ingrid Tholmer revient sur la panne d'ascenseur des Coves 2 déjà évoquée lors du conseil de janvier. « Les gens n'ont pas d'ascenseur depuis plus de 2 mois, ils commencent à craquer » Fabien Hacquard lui répond qu'une pièce est manquante pour la réparation. Cyril Bonnevie espère « que les gens qui ont commis ça, que les entreprises qui bossent là-dessus, on va les attaquer en justice, et que c'est la mairie de Val qui doit le faire. La boite qui laisse poireauter les gens pendant des mois c'est une honte. » Fabien Hacquard explique que c'est l'entreprise, troisième sous traitant du câblage fibre optique, une société portugaise qui est responsable de la panne. « Tu veux les attaquer sur quel titre ? » demande l'élu. « Sur dégradation », répond du tac au tac Cyril Bonnevie. L’ascensoriste annonce ne pas avoir la pièce, qu'elle n'existe pas répond Patrick Martin. Pierre Cerboneschi estime qu'il faut mieux choisir les sous-traitants. « Si vous aviez eu un constructeur d'une certaine envergure. La pièce n'existe pas, c'est parce que le constructeur est bidon » « C'est Koné, c'est pas bidon », lui répond-on.
Ingrid Tholmer demande où en sont les travaux des Côves 3, Fabien Hacquard annonce une livraison pour le milieu de l'été. Gérard Mattis demande quels sont les critères permettant aux acteurs socio-économiques d'accéder à ces appartements afin d'y loger leur personnel. Fabien Hacquard lui répond que cela dépend de l'ancienneté de la demande et du fait que l'entreprise soit domiciliée à Val d'Isère ou non. Pierre Cerboneschi annonce la création des Coves 4. La commune « est en train de faire l'acquisition foncière d'un terrain qui appartient à l'EDF, à proximité des Côves 3 dans le but de monter un 4ème projet. »
Ingrid Tholmer demande aussi où en est le test grandeur nature du Hub de la Daille. L'exercice va concerner l'interconnexion entre les lignes de bus, et le réseau train rouge explique Patrick Martin. « La rupture de charge existe déjà à la gare routière », estime le maire qui annonce qu'un test sera mené dès l'hiver prochain, que les travaux sur le bas de la zone du Coin aient débuté ou non. « Qu'on soit pour ou contre le projet du Hub, la gare actuelle est définitivement trop petite., c'est un fait » estime Frédéric Monneret.
Gérard Mattis demande ce qu'il en est du problème de chauffage de la crèche. Une réunion d'information pour les parents est organisée ce soir à ce sujet.,plus d'informations dans les infos avalines demain matin.
Alors que les premiers élus se lèvent, la parole est donnée aux auditeurs. Une spectatrice revient sur le démontage des téléskis du Col évoqué plus haut. Elle annonce que sans ces appareils on se prive d'une remontée mécanique important transportant 420 000 personnes par hiver et donnant accès a un hors piste ensoleillé, prisé des bons skieurs. Elle demande aussi ce qui est envisagé par la partie de basse la ligne, l'actuel téléphérique du Fornet. Il lui est répondu qu'une nouvelle télécabine type TC10 était à l'étude.